FR/Prabhupada 0248 - Krishna avait 16,108 épouses, et à chaque fois quasiment il a dû se battre: Difference between revisions

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Pradyumna: "Nous ne savons lequel est le mieux les conquérir, ou être conquis par eux. Les fils de Dhṛtarāṣṭra – lesquels si nous les tuons, vivre nous importerait peu – se tiennent maintenant devant nous sur ce champs de bataille.
'''Pradyumna :''' « J'ignore s'il vaut mieux les vaincre ou être par eux vaincu. En tuant les fils de Dhṛtarāṣṭra, je perdrais le goût de vivre ; et pourtant, les voici maintenant alignés devant nous sur ce champ de bataille. »


Prabhupāda: Ainsi ces deux groupes de frères-cousins… Mahārāja Pāṇḍu avait cinq fils et Dhṛtarāṣṭra avait cent fils. Donc c’est la famille, la même famille, et il y avait un accord entre eux, Si d’autres en dehors de la famille venaient les attaquer, Ils s’uniraient, les 105 frères, et se battraient. Mais quand il y avait un combat entre eux – d’un côté, les cent frères; de l’autre côté, les cinq frères. Parce que dans une famille kṣatriya, il est d’usage qu’ils continuent de se battre. Même pendant leur mariage, il y avait des combats. Sans combat, il ne se déroule aucun mariage dans une famille kṣatriya. Kṛṣṇa avait 16,108 femmes, et à chaque fois quasiment il a dû se battre, pour gagner la femme. C’était du sport. Pour un kṣatriya se battre, c’était du sport. Donc il est perplexe sur le fait qu’il devrait encourager ou non ce genre de combat.
'''Prabhupāda :''' Ainsi ces deux groupes de frères-cousins… Mahārāja Pāṇḍu avait cinq fils et Dhṛtarāṣṭra en avait cent. C’était la famille, la même famille, et il y avait un accord entre eux que si d’autres en dehors de la famille venaient les attaquer, les 105 frères s’uniraient et se battraient. Mais lors d’un combat entre eux, il y avait d’un côté les cent frères et de l’autre les cinq frères. Parce que dans une famille ''kṣatriya'', il est d’usage de se battre. Même pendant leur mariage, il y avait des combats. Sans combat, il ne se déroule aucun mariage dans une famille ''kṣatriya''. Kṛṣṇa avait 16,108 épouses, et à chaque fois quasiment, il a dû se battre pour gagner la femme. C’était du sport ; pour un ''kṣatriya'' se battre, c’était du sport.


Il y a un proverbe au Bengal, khābo ki khābo nā yadi khāo tu pauṣe. "Quand vous êtes perplexe sur ‘Devrais-je manger ou non’, c’est mieux de ne pas manger." Parfois nous arrivons à ce point-là, “Je n’ai pas très faim, devrais-je manger ou ne pas manger?Le meilleur choix est de ne pas manger, plutôt que de manger. Mais si vous mangez, alors vous pouvez manger pendant le mois de décembre, Pausa. Pourquoi? C’est au… au Bengal… le Bengal à un climat tropical, mais quand c’est la saison de l’hiver, il est conseillé que “si vous le mangez, ce n’est pas si dangereux car cela sera digéré.” La nuit est très longue, ou la saison froide, le pouvoir digestif, est bien Alors quand nous sommes confus, “le faire ou ne pas le faire” jābo ki jābo nā yadi jāo tu śauce: "Quand vous pensez, 'Devrais-je y aller ou non?' c’est mieux de ne pas y aller. Mais quand il s’agit de répondre à l’appel de la nature, vous devez y aller.” Jābo ki jābo nā yadi jāu tu śauce, khābo ki khābo nā yadi khāo tu pauṣe. C’est vraiment du sens commun. De même, Arjuna est maintenant perplexe, "Devrais-je me battre ou ne pas me battre?" C’est aussi présent partout. Quand il y a une déclaration de guerre entre deux politiciens modernes, ils considèrent… Comme pendant la Seconde Guerre Mondiale, quand Hitler se préparait pour la guerre… Tout le monde savait qu’Hitler allait riposte par qu’ils avaient perdu la première guerre. Donc Hitler se préparait à nouveau. Un, mon frère-en-Dieu, allemand, il vint en Inde en 1933. Ainsi à ce moment-là il nous a informé “Il va y avoir une guerre. Hitler est en train de faire de grands préparatifs. Il doit y avoir une guerre. " Donc à ce moment-là, je pense, que dans votre pays c’était M. Chamberlain le Premier Ministre. Et il alla voir Hitler pour arrêter la guerre. Mais il ne voulait pas. Donc de même, dans cette bataille, le dernier point, Kṛṣṇa a essayé d’éviter la guerre. Il a dit à Duryodhana que "Ce sont des kṣatriyas, vos frères-cousins. Vous avez usurpé leur royaume. Peu importe, vous l’avez pris d’une manière ou d’une autre. Mais ce sont des kṣatriyas. Ils doivent avoir les moyens de vivre. Alors donnez-leur, cinq frères, cinq villages. Parmi votre empire tout entier, donnez-leur cinq villages." Alors il... "Non, je ne partagerai même pas un pouce de terre sans me battre.Par conséquent, dans de telles conditions, il doit y avoir une bataille.
Donc Arjuna est perplexe sur le fait qu’il doive s'engager ou non dans ce genre de combat. Il y a un proverbe au Bengal, ''khābo ki khābo nā yadi khāo tu pauṣe'' : Quand vous êtes perplexe sur le fait de manger ou non, c’est mieux de ne pas manger. Parfois nous en arrivons à ce point-là, « Je n’ai pas très faim, devrais-je manger ou ne pas manger ? » Le meilleur choix est de ne pas manger, plutôt que de manger. Mais si vous mangez, alors vous pouvez manger pendant le mois de décembre, ''pausa''. Pourquoi ? Le Bengal à un climat tropical, mais durant la saison de l’hiver, il est dit que si vous mangez, ce n’est pas si mauvais car cela sera digéré ; la nuit est très longue, mais durant la saison froide le pouvoir digestif est bon. Quand nous sommes confus — le faire ou ne pas le faire — alors ''jābo ki jābo nā yadi jāo tu śauce'' : « Quand vous pensez devrais-je y aller ou non, c’est mieux de ne pas y aller ; mais quand il s’agit de répondre à l’appel de la nature, vous devez y aller » — ''Jābo ki jābo nā yadi jāu tu śauce, khābo ki khābo nā yadi khāo tu pauṣe''. C’est vraiment une question de bon sens.
 
De même, Arjuna est maintenant perplexe, « Devrais-je me battre ou non ? » C’est aussi présent partout. Quand il y a une déclaration de guerre entre politiciens modernes, ils considèrent… Comme pendant la Seconde Guerre Mondiale, quand Hitler se préparait pour la guerre… Tout le monde savait qu’Hitler allait avoir une revanche parce qu’ils avaient perdu la première guerre. Donc Hitler se préparait à nouveau. Un frère-en-Dieu allemand vint en Inde en 1933. À ce moment-là il nous a informé qu’il allait y avoir une guerre ; Hitler était en train de faire de grands préparatifs, il devait y avoir une guerre. À ce moment-là, je pense que dans votre pays M. Chamberlain était le Premier Ministre. Il alla voir Hitler pour arrêter la guerre, mais il ne voulait pas.
 
De même, dans cette bataille, jusqu'à la dernière possibilité Kṛṣṇa a essayé d’éviter la guerre. Il a dit à Duryodhana : « Vos frères-cousins sont des ''kṣatriyas''. Vous avez usurpé leur royaume ; peu importe la manière dont vous l’avez pris. Mais ce sont des ''kṣatriyas'', ils doivent avoir les moyens de vivre. Alors donnez aux cinq frères, cinq villages. Parmi votre empire tout entier, donnez-leur cinq villages. » Il répondit... « Non, je ne partagerai même pas un pouce de terre sans me battre. » Par conséquent, dans de telles conditions, il doit y avoir une bataille.
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Latest revision as of 16:47, 8 December 2018



Lecture on BG 2.6 -- London, August 6, 1973

Pradyumna : « J'ignore s'il vaut mieux les vaincre ou être par eux vaincu. En tuant les fils de Dhṛtarāṣṭra, je perdrais le goût de vivre ; et pourtant, les voici maintenant alignés devant nous sur ce champ de bataille. »

Prabhupāda : Ainsi ces deux groupes de frères-cousins… Mahārāja Pāṇḍu avait cinq fils et Dhṛtarāṣṭra en avait cent. C’était la famille, la même famille, et il y avait un accord entre eux que si d’autres en dehors de la famille venaient les attaquer, les 105 frères s’uniraient et se battraient. Mais lors d’un combat entre eux, il y avait d’un côté les cent frères et de l’autre les cinq frères. Parce que dans une famille kṣatriya, il est d’usage de se battre. Même pendant leur mariage, il y avait des combats. Sans combat, il ne se déroule aucun mariage dans une famille kṣatriya. Kṛṣṇa avait 16,108 épouses, et à chaque fois quasiment, il a dû se battre pour gagner la femme. C’était du sport ; pour un kṣatriya se battre, c’était du sport.

Donc Arjuna est perplexe sur le fait qu’il doive s'engager ou non dans ce genre de combat. Il y a un proverbe au Bengal, khābo ki khābo nā yadi khāo tu pauṣe : Quand vous êtes perplexe sur le fait de manger ou non, c’est mieux de ne pas manger. Parfois nous en arrivons à ce point-là, « Je n’ai pas très faim, devrais-je manger ou ne pas manger ? » Le meilleur choix est de ne pas manger, plutôt que de manger. Mais si vous mangez, alors vous pouvez manger pendant le mois de décembre, pausa. Pourquoi ? Le Bengal à un climat tropical, mais durant la saison de l’hiver, il est dit que si vous mangez, ce n’est pas si mauvais car cela sera digéré ; la nuit est très longue, mais durant la saison froide le pouvoir digestif est bon. Quand nous sommes confus — le faire ou ne pas le faire — alors jābo ki jābo nā yadi jāo tu śauce : « Quand vous pensez devrais-je y aller ou non, c’est mieux de ne pas y aller ; mais quand il s’agit de répondre à l’appel de la nature, vous devez y aller » — Jābo ki jābo nā yadi jāu tu śauce, khābo ki khābo nā yadi khāo tu pauṣe. C’est vraiment une question de bon sens.

De même, Arjuna est maintenant perplexe, « Devrais-je me battre ou non ? » C’est aussi présent partout. Quand il y a une déclaration de guerre entre politiciens modernes, ils considèrent… Comme pendant la Seconde Guerre Mondiale, quand Hitler se préparait pour la guerre… Tout le monde savait qu’Hitler allait avoir une revanche parce qu’ils avaient perdu la première guerre. Donc Hitler se préparait à nouveau. Un frère-en-Dieu allemand vint en Inde en 1933. À ce moment-là il nous a informé qu’il allait y avoir une guerre ; Hitler était en train de faire de grands préparatifs, il devait y avoir une guerre. À ce moment-là, je pense que dans votre pays M. Chamberlain était le Premier Ministre. Il alla voir Hitler pour arrêter la guerre, mais il ne voulait pas.

De même, dans cette bataille, jusqu'à la dernière possibilité Kṛṣṇa a essayé d’éviter la guerre. Il a dit à Duryodhana : « Vos frères-cousins sont des kṣatriyas. Vous avez usurpé leur royaume ; peu importe la manière dont vous l’avez pris. Mais ce sont des kṣatriyas, ils doivent avoir les moyens de vivre. Alors donnez aux cinq frères, cinq villages. Parmi votre empire tout entier, donnez-leur cinq villages. » Il répondit... « Non, je ne partagerai même pas un pouce de terre sans me battre. » Par conséquent, dans de telles conditions, il doit y avoir une bataille.